Myopie, hypermétropie, astigmatisme, presbytie… l’œil est un organe complexe et fragile. Œil trop long ou trop court, courbure irrégulière de la cornée, moindre souplesse du cristallin… chaque défaut visuel a son explication physiologique mais aussi ses verres correcteurs appropriés. Ces derniers sont divergents ou concaves pour la myopie, convergents ou convexes pour l’hypermétropie, toriques pour l’astigmatisme, simples foyers ou progressifs pour la presbytie.
MYOPIE
Ce trouble de la vision, le plus répandu, se caractérise par une difficulté à bien voir de loin. Aujourd’hui, la myopie affecte un nombre croissant de personnes dans le monde. Notamment en Asie et chez les jeunes. Le peu d'activité extérieure et l’utilisation intensive des écrans accentuent ce défaut visuel.
HYPERMÉTROPIE
L’hypermétrope voit bien de près et bien de loin mais il doit faire un effort permanent, car son œil n’est pas assez puissant, ce qui peut conduire à des maux de tête réguliers.
ASTIGMATISME
L’astigmate voit de manière imprécise de près comme de loin. La périphérie des images lui semble parfois déformée. L’astigmatisme peut se combiner avec d’autres troubles de la vue comme la myopie, l’hypermétropie ou la presbytie.
PRESBYTIE
La presbytie n’est pas un défaut visuel mais une évolution naturelle de la vision. On ne naît pas presbyte, on le devient. La presbytie est un trouble de la vision qui concerne aussi bien les femmes que les hommes au début de la quarantaine.
Source Essilor
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